«Lac Club» nous emmène au Lac Baïkal en Russie en suivant une sorte de récit de voyage fragmentés. L'auteure entreprend de trouver un lieu originel à l’humanité et questionne la possibilité d'un lien collectif entre humains. Avec des images devenues presque abstraites, le Lac Baïkal est investi pour sa puissance symbolique et physique. Le récit mêlent ainsi des sources historiques, des histoires racontées, collectées ou encore autobiographiques, ainsi que des mythes. Les objets filmés dans l'eau évoquent l'appropriation culturelle avec le logo du National géographique et la go pro qui est le moulage même de la caméra de l'auteure. La figure de l'exploratrice représente la main mise sur les récits maîtres de l'histoire et les corps reproductifs par le capitalisme. Sous-titres : anglais/allemand
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