Musique de Keijiro Sato. En utilisant deux vitesses de projecteur et des vitesses variables de caméra, Iimura filme la lumière traversant un écran et projetée par un projecteur dans lequel il n’y a pas de film. La disparité entre les vitesses des obturateurs de la caméra et du projecteur, le refilmage en positif puis en négatif, crée une série d’effets de clignotements bien plus puissants que ceux qui se trouvaient dans FILM STRIP II…En fin de compte, ces variétés d’effets clignotements- obturateur sont parmi les travaux les plus intéressants produits ces dernières années dans le domaine de l’exploration des procédés filmiques et des matériels. Scott MacDonald.
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