Malgré les ingrédients qui tendent à faire entrer ce film dans le registre du film de famille, il semble d’avantage s’inscrire dans le cinéma de l’intime proposé par Dominik Lange. (…) Au contraire des films familiaux, ce n’est évidemment pas ce qui est filmé qui compte, mais comment cela est filmé.(…) Dans Scènes festives, le filmeur semble réellement faire partie du film. Il est même présent, appuyé au piano, dans quelques scènes. Il est partie prenante dans cette intimité ressentie. La musique que les protagonistes partage dans Scènes festives a cette même capacité de rassemblement que le repas de Fête d’anniversaire. La musique et la nourriture sont partagés, seule la place du filmeur semble être différente, et, du même coup, ce qu’il nous livre. Cécile Giraud
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