Une nuit, j’ai rêvé de mon père. Je voyais une maison familière dont l’unité architecturale et spatiale était disloquée au profit d’un assemblage discontinu de pièces, d’ouvertures et de volumes. Le film montre ces espaces du dedans, hantés par la présence de celui qui venait de mourir. Film tourné avec un système de caches contre-caches. Le travail de post production s’est effectué dans le cadre d’un laboratoire associatif (L’Abominable) jusqu’au montage du négatif.
Credits