Sorte de supermarché-love, convertissant le mythe du paradis en ondes électroniques artificielles parcourant des personnages s’auto-procréant, « paradis.com » s’organise autour d’un consensus mercantile pour traiter de l’utopie de l’amour : le mode d’emploi consumériste du texte poétique fait alors fonction de révélateur, là où réel et illusions s’invertissent dans cette jonction du poème et de l’image.
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