Réalisé à partir d’une chorégraphie de Stéphanie Avon, ce film s’en libère totalement par les jeux conjugués d’un tournage tout en gros plans sur le corps en mouvement, et d’un montage très rapide, extrêmement varié qui va en s’accélérant au rythme de la musique. La fin du film devient une sorte de tableau abstrait en mouvement où dominent l’ombre et la lumière. C. Brunel.
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