In Memoriam est un poème visuel, né d’une déception amoureuse, il est obscur, intime et indéchiffrable, comme la vie elle-même. De la peinture en mouvement, de la photographie introspective et la clôture d’un éepisode personnel, c’est un jeu d’images dans lequel l’abstraction rentre dans la réalité sensible du corps et inversement. Dans son voyage sombre du cerveau au coeur il n’y a pas de logique. C’est un requiem pour quelqu’un qui n’existe pas encore –tel que je me souviens d’elle-, qui peut être a seulement vecu dans ma mémoire et qui vit maintenant ensevelie dans ces images. Au fur et à mesure que le film se faisait, la méthode utilisée était plus proche du développement d’un poème ou dune peinture, dans la quelle le temps et le hasard influencent des diverses manières. A paritr des images enregistrées d’un laser refleté en mouvement, forgé des formes de crystal sur le mur d’un pièce sombre, a été créé le fond sur lequel le reste des couches vidéo (jusqu’à 15 parfoir) sont superposées.Les formes connectées ont été fabriquées en 3D. Ces couches font partie d’un meteriel vidéographique personnel, qui pourraiet être appelé des documents sentimentaux . L’influence de la cineplastica et des premières avant-gardes est constante dans ce travail.
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