Célébration du corps masculin comme espace à filmer. L’approche en très gros plan morcelle, érotise et dévoile un corps-paysage, souvent androgyne et dont certaines parties restent indéchiffrables. Le cinéaste inaugure ici une écriture cinégraphique spécifique au médium super 8. La légèreté et la maniabilité de la caméra vont lui permettre de plonger dans l’intensité du moment à filmer/capturer et de se laisser porter par la liberté de son expression gestuelle.
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