‘L'amour était un problème pour nos ancêtres, ce n'en est plus un aujourd'hui’ Sam Coomes ‘A chaque image un visage: et la présence s'expérimente comme fugacité au travers une poursuite de l'image qui toujours se dérobe dans le flux crépitant du continuum filmique S. Leperchey 6 images/seconde pour entrevoir l’expression d’un visage, dans le rythme saccadé de la projection. Fugitivement, l’éclat du regard, du sourire, mais aussi le traitement du noir et blanc comme patiné par le temps, font irrémédiablement penser aux gros plans tellement expressifs du cinéma d’Eisenstein. Sans le vouloir sans doute, la réalisatrice rend hommage au réalisateur russe. C’est aussi une rencontre, et la fin d’un idéal cinématographique.’ Elisabeth Jenny
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