Les trajectoires de huit personnages se touchent, se frôlent, s'évitent, s'attirent ou se percutent dans la texture super 8 d'un film ballet. Climax tente de retranscrire la sensation d'un cauchemar qui échappe, par sa nature, au réel, à la fiction et même à la mémoire pour s'immiscer dans la boite crânienne en images brèves, syncopées, déstructurées, répétitives et obsessionnelles : ici, celles d'un fantasme de meurtre.
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