Un rêve d’amour et de mort. "Ce film dit beaucoup, rayonne, percute ; il change trois fois par seconde, il avance en tout sens. Allegoria n'est pas non narratif mais sur-narratif : comme un condensé de drames policiers et de films d'horreur. De pair avec un plan de tigre, le corps d'Aloual (ré)apparaît en cadavre (ou presque) surgissant notamment d'une baignoire digne de celle des Diaboliques de Clouzot ou pris dans les fibres cellophaniques d'Invasion of the Body Snatchers". Dominique Noguez
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